suite... Mais ça ce n’est rien du tout. En 42... Stalingrad est à portée de la conquête des Allemands. C’est-à-dire : c’est fini ! Le monde est sous la botte fasciste... Et en 44, Paris est libéré... (Rires.) Là, j’ai imaginé... vous savez, nous avons été dans la même cellule avec Aubrac, avec (…)
Eloge de l’engagement : Maurice Kriegel-Valrimont