La fin de l’entretien est particulièrement intéressante. Il repose sur un constat assez lucide ( le marché de la contestation ) mais, à mes yeux, un moyen erroné ( la non-violence ). Le mouvement contre la réforme des retraites, bien que massif, a échoué car il est resté dans la bienséance de la (…)
Monique Pinçon-Charlot : « c’est la première secousse d’un séisme plus profond »