Merveilleux, sublime, je veux aller vivre sur l’île, j’en ai marre des cons ici. Que ça fait du bien, je garde pour toujours, je me le repasserai les soirs de tristesses et de dégoût de tout. Merci Daniel, ce n’est pas superfétatoire, c’est même l’essentiel.
L’île du droit à la caresse