Bravo et merci pour ce bel édito. Comme bien d’autres, je me suis coupé des matinales de France Inter, considérant que la notion de "radio de service public" a été bafouée. Je suis par ailleurs dégoûté de voir que ces stars médiatiques soient aussi grassement rétribuées ( avec l’argent de nos (…)
Radio France, une grève sous silence : histoire d’une confiscation