Avec tout le respect du à cet homme et au travail de réflexion qu’il réalise et transmet par écrit, je ne peux m’empêcher de considérer qu’une barrière (infranchissable ?) existe entre ces intellectuels et d’autres qui se font gazer tous les samedi... à quand la convergence ?
Alain Supiot : réfléchir à l’après-capitalisme