Dans la plus pure tradition stalinienne, je vais commencer par un début d’auto critique. Marielle me fait souvent rigoler. Je suis dans la catégorie des "vieux mâles blancs", sensible à la plastique féminine. La dame du film, dont le corps fait l’objet de l’adoration du couillon à moitié (…)
Jean-Pierre Marielle a crevé l’écran