Le 4 octobre 1965 j’arrivais à Abidjan pour effectuer mon service militaire en tant qu’enseignant au titre de la coopération. Dans la ville il y avait de nombreuses affiches annonçant un gala de Charles Aznavoue et là je fus surpris, ainsi que tous mes collègues, car l’affiche était ainsi (…)
Didier Porte est en deuil