Dans un article de l’Humanité du 13 juillet 1904, Jean-Jaurès se félicite de l’adhésion du gouvernement (de droite) de l’époque concernant la mise en place d’une retraite à 65 ans (alors que 15% en moyenne des ouvriers atteignent cet âge), loi fut votée en 1910, puis à 60 ans en 1912 pour une (…)
Ambroise Croizat nous avait prévenus : « le patronat ne désarme jamais »