En 1984, je travaillais l’été dans l’hôtellerie, pour payer mes études, j’ai fait une insolation qui m’a fait perdre la vue 3 jours, mes collègues ce sont occupés de la pharmacie. Celle -ci n’ayant pas rendu ma feuille de maladie, j’allais la réclamer. Je me suis fait sortir de la plus belle (…)
Ambroise Croizat nous avait prévenus : « le patronat ne désarme jamais »