"la terreur de la précarité" est un terme juste, cette terreur est le verrou qui maintient le désordre social , celui là même qui condamne, surveille (et éliminera ?) les chômeurs, traînent dans l’ignominie les plus démunis et glorifie les puissants dans leur brutalité égoïste et autoritaire (…)
La seule façon d’apprendre, c’est de contester