C’est tordu. Entre l’antiquité et la renaissance, à ce que je sache, on n’en a pas représenté beaucoup des attributs sexuels. Que ce tabou de l’église ait existé ou pas, à quel titre la représentation du christ échapperait à la règle ? L’érudition au service d’élucubrations.
Joyeuses fêtes ! Vive la quéquette à Jésus-Christ !