J’ai lu avec intérêt la version écrite de votre conférence "Notre mal vient de plus loin ..." La phrase suivante (VII p69) me choque : "Alors il faut qu’à notre tour, nous ayons la force de nous désintéresser partiellement de l’État lui-même, en tout cas de l’État tel qu’il est. Ne votons (…)
ALAIN BADIOU : "NOTRE MAL VIENT DE PLUS LOIN"