J’ai senti une pointe d’ironie dans la parole du débraillé de la semaine, iseune tite ? Je crois avoir trouvé le mécanisme interne qui anime le Jonathan : voyez de quelle main signe l’ami Barack et de même quelle main agite frénétiquement le Jonathan pendant ses allocutions, ils sont comme (…)
Quand un journaliste français rencontre Barack Obama, ça lui fait des « papillons dans le ventre »