À écouter Bigard, je ne peux pas m’empêcher de penser au poivrot à la dérive qui occupe l’extrémité d’un comptoir et qui ne va pas tarder à rentrer chez lui après avoir refait le monde selon sa théorie du « moi je » inspirée par un mauvais vin. Il ne va pas bien Bigard, il fait même peur, à ne (…)
Didier Porte est-il plus drôle que Jean-Marie Bigard ?