AVIS DE PAUL ELOUARD ( 1942 ) La nuit qui précéda sa mort Fut la plus courte de sa vie L’idée qu’il existait encore Lui brûlait le sang aux poignets Le poids de son corps l’écoeurait Sa force le faisait gémir C’est tout au fond de cette horreur Qu’il a commencé à sourire Il n’avait pas (…)
"Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant" : 70 ans, l’affiche rouge