Je suis de tout cœur avec vous et merci pour votre courage et votre dévouement,que vous prodigue a longeur de temps ,et surtout ne vous découragez pas à cause de quelque malfaisant politocars véreux et corompus et lobiistes,penser y quand vous les soigner,de ne pas trop courir pour les sauvers (…)
Lettre d’une infirmière à Martin Hirsch (version vidéo)