Inde, la dernière guerilla IV

Le

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement

"On parle toujours de la violence du fleuve, jamais de celle des berges qui l’enserrent." Bertolt Brecht
Sud du Chhattisgarh. L’opération Green Hunt a débuté contre les Naxalites, cette guerilla présente dans deux tiers des districts indiens. Un objectif, selon le pouvoir : la sécurité des populations.
Mais derrière cet affrontement, il y a d’autres enjeux, économiques et industriels.
Un reportage avec Giv Anquetil

Programmation musicale


 Baba Sehgal : Baari Barsi
 Achanak : Lak noo hala de

A lire


 "Histoire du naxalisme. Jacqueries et gérillas de l’inde, 1967-2003", de Prakash Singh
Editeur : Les Nuits rouges (décembre 2003)

Un conseil de Là-bas


Rencontre publique avec Enric Duran "Le Robin des banques Catalan", demain soir.
En 2008, le catalan Enric Duran avait emprunté à 39 banques la somme de 492.000 euros, avant d’annoncer publiquement qu’il ne rembourserait pas. L’argent a permis de financer la publication de la revue Crisi, puis de la revue Podem, sous le slogan : « Nous pouvons sortir du capitalisme ».
A 20 heures, Espace Louise Michel, 42 bis rue des Cascades Paris XX (M° Pyrénées)
La rencontre entre Enric et Lucio sera l’objet d’une émission de "Là-bas si j’y suis".

Écouter l'émission

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 01/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 02/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 03/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 04/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 05/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 06/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 07/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 08/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 09/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 10/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 11/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 18 janvier 2010 - 12/12

    - MP3 -

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)