Les archives radiophoniques

Articles de cette rubrique

36 documents

  • Il y a 30 ans le mur s’est fendu, et Là-bas est né

    Les dames de Templin (novembre 2009) Accès libre

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    Il y a encore dix ans, pour le vingtième anniversaire en direct de Berlin, Radio France avait eu l’idée très originale d’inviter le philosophe BHL pour mettre en garde l’auditeur face à l’enfer totalitaire communiste si jamais il le (…)
  • Janvier 1990 à Berlin. Il y a 30 ans le mur s’est fendu, et Là-bas est né

    BALADE À KREUZBERG (janvier 1990) Accès libre

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    En janvier 1990, deux mois après le début de la démolition du mur, Daniel Mermet était de retour à Berlin : « Je suis ici pour un bruit, un bruit inoui ! ». Ce bruit, c’était celui des marteaux et des burins des milliers de pèlerins (…)
  • COUVRE-FEU. Peut-on vraiment détourner les mots et les morts ?

    17 octobre 1961, un autre couvre-feu Abonnés

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    Couvre-feu. Un mot d’angoisse, de peur, de guerre, un mot dont le pouvoir s’est fait un masque. Un masque pour masquer mensonges et cynisme d’État dans la gestion de la crise, pour masquer la vague de pauvreté qui vient et (…)
  • MEMOIRE DE LÀ-BAS. (8 avril 1994) Un reportage de Zoé Varier et Daniel Mermet.

    LENINGRAD, L’ORCHESTRE SOUS LES BOMBES Accès libre

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    « On a mangé les chiens, les chats, les rats, et même la chair des cadavres » Il y a juste 75 ans, le 27 janvier 1944, prenait fin le siège de Leningrad, un des cauchemars le plus monstrueux du 20e siècle. 800 000 morts de faim et de (…)
  • Première guerre mondiale : la mémoire des auditeurs de Là-bas. Un reportage de Thierry Scharf (2002)

    Les lettres de Craonne Accès libre

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    En novembre 1998, Là-bas si j’y suis avait proposé aux auditeurs une série d’émissions pour commémorer la 1ère Guerre mondiale et les centaines de milliers de sacrifiés de cette Grande boucherie. Quatre émissions qui ont beaucoup marqué (…)
  • Un espace autogéré des luttes

    Le 33 rue des Vignoles Accès libre

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    Les locaux de la CNT à Paris, menacés de fermeture. C’est un patrimoine vivant. Hérité de l’anarchisme espagnol, de la mémoire ouvrière et de la culture alternative. Une mémoire ancrée dans la vie de ce quartier du 20e (…)

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Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

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Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)