Novembre

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  • Grigny Gangs Story (2) Accès libre

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    Nous rencontrons aujourd’hui des bandes de la Grande Borne à Grigny dans l’Essonne, sans gyrophare, sans hystérie sécuritaire, sans racisme social, sur fond de ces paroles de rap qui disent tout depuis si longtemps sur la rage et la (…)
  • Grigny Gangs Story Accès libre

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    Blousons noirs, loubards, racaille, ceux que les dignes sociologues appellent "les jeunes des classes populaires" sont - comme disait Pierre Bourdieu - "parlés plus qu’ils ne parlent". On parle d’eux, on parle beaucoup d’eux, mais eux (…)
  • Cochon bonnet rouge Accès libre

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    Les puissants responsables de l’élevage intensif en Bretagne, soutenus par des subventions publiques depuis des années, réussissent à créer la confusion, en se posant en victime de la catastrophe économique, humaine et environnementale (…)
  • LIP, LIP, LIP, hourra ! (2) Accès libre

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    C’est possible, on fabrique, on vend, on se paie. Et ils l’ont fait. C’était il y a juste 40 ans et à Besançon aujourd’hui on revient sur cette lutte tranquillement illégale. Le second volet d’un reportage d’Antoine Chao.
  • LIP, LIP, LIP, hourra ! Accès libre

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    Il y a juste 40 ans, la lutte des LIP à Besançon marque une cassure dans notre histoire. Alors que les emplois sont menacés, les salariés vont vendre directement eux-mêmes les montres qu’ils fabriquent : C’EST POSSIBLE, ON FABRIQUE, ON (…)
  • Le Qatar déchaîné Accès libre

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    3-0 ! La France est qualifiée pour Rio en 2014, c’est la liesse unanime. Le foot nous console de tout et nous aveugle sur tout. Ainsi pour le Qatar en 2022, on se réjouit d’avance à part quelques grincheux qui évoquent les droits de (…)
  • Poulet bonnet rouge (2) Accès libre

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    Dans le Finistère, quatre entreprises ont fermé ou sont en train de fermer. Après l’abattoir de porcs GAD, c’est au tour de l’abattoir de poulets Tilly-Sabco, qui s’est construit sur un modèle intensif, productiviste, dans les années (…)
  • Poulet bonnet rouge Accès libre

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    Boulot bas de gamme, poulet bas de gamme, mais c’était mieux que rien. En Bretagne depuis longtemps on connaît les effets de l’agriculture intensive imposée depuis les années 60. Mais avec la mondialisation voilà la concurrence, avec le (…)
  • Craonne, sa chanson, ses mutins Accès libre

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    Aujourd’hui nous retournons à Craonne, théâtre d’une des plus sanglantes batailles de la Grande Guerre. De cette boucherie, 155 000 Français morts en dix jours, naîtront les mutineries de 1917 et aussi la célèbre chanson de Craonne. (…)

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Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

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Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)