Chaque mois un (ou deux !) films gratos pour nos abonnés bienaimés !

Nos abonnés encore privilégiés : non pas UN mais DEUX films de l’étonnant Otar Iosseliani ce mois-ci Abonnés

1

Le

Ce film était disponible pour les abonnés jusqu'au 11 décembre 2021. Retrouvez un nouveau film chaque 1er samedi du mois avec votre abonnement à Là-bas si j'y suis. Voir le film du mois.

Nos abonnés encore privilégiés !

Oui, jusqu’où iront les privilèges de nos AMG (Abonnés Modestes et Géniaux) ?
On se demande...

Voici non pas UN mais DEUX films de l’étonnant OTAR IOSSELIANI, cinéaste d’origine géorgienne qui vit en France depuis 1982. Il a une une filmographie importante avec un tas de prix et de récompenses. Nous autres, gens du son et de radio, avons été attirés par ses films « Muets parlants » qui rappellent le style de Jacques Tati.

Voici : « LUNDI MATIN » (2002) et « ET LA LUMIÈRE FUT » (1989)

LUNDI MATIN

Vincent, père de famille à la campagne, ouvrier-soudeur en usine et peintre à ses heures perdues, décide un beau matin de laisser derrière lui famille et usine pour s’en aller à l’aventure. Une rapide visite chez son père, qui extrait des liasses de billets de son coffre-fort pour les offrir à son fils, et voilà Vincent parti pour Venise. Pendant ce temps, la vie continue au village…

(Ours d’argent du meilleur réalisateur à la Berlinale 2002).

ET LA LUMIÈRE FUT

Le film conte sur un mode quasi documentaire la chronique d’un village africain menacé par la déforestation. De drolatique, le ton se fait plus grave à mesure que les péripéties, parfois à la limite du surréalisme, laissent la place à des problèmes plus dramatiques, tels une crise conjugale ou la destruction des huttes.

(Grand prix spécial du jury à la Mostra de Venise 1989).

Abonnez-vous pour accéder à tous nos contenus, c’est très simple !

Depuis 1989 à la radio, Là-bas si j’y suis se développe avec succès aujourd’hui sur le net. En vous abonnant vous soutenez une manière de voir, critique et indépendante. L’information a un prix, celui de se donner les moyens de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre travail. C’est aussi le prix de notre indépendance, pour ne pas être soumis financièrement aux annonceurs, aux subventions publiques ou aux pouvoirs financiers.

Je m'abonne J'offre un abonnement

Déjà abonné.e ?
Identifiez-vous

Otar Iosseliani
France / Italie, 2002
France / Italie / Allemagne 1989

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)