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Nos abonnés encore privilégiés : non pas UN mais DEUX films de l’étonnant Otar Iosseliani ce mois-ci Abonnés

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On se demande...

Voici non pas UN mais DEUX films de l’étonnant OTAR IOSSELIANI, cinéaste d’origine géorgienne qui vit en France depuis 1982. Il a une une filmographie importante avec un tas de prix et de récompenses. Nous autres, gens du son et de radio, avons été attirés par ses films « Muets parlants » qui rappellent le style de Jacques Tati.

Voici : « LUNDI MATIN » (2002) et « ET LA LUMIÈRE FUT » (1989)

LUNDI MATIN

Vincent, père de famille à la campagne, ouvrier-soudeur en usine et peintre à ses heures perdues, décide un beau matin de laisser derrière lui famille et usine pour s’en aller à l’aventure. Une rapide visite chez son père, qui extrait des liasses de billets de son coffre-fort pour les offrir à son fils, et voilà Vincent parti pour Venise. Pendant ce temps, la vie continue au village…

(Ours d’argent du meilleur réalisateur à la Berlinale 2002).

ET LA LUMIÈRE FUT

Le film conte sur un mode quasi documentaire la chronique d’un village africain menacé par la déforestation. De drolatique, le ton se fait plus grave à mesure que les péripéties, parfois à la limite du surréalisme, laissent la place à des problèmes plus dramatiques, tels une crise conjugale ou la destruction des huttes.

(Grand prix spécial du jury à la Mostra de Venise 1989).

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Otar Iosseliani
France / Italie, 2002
France / Italie / Allemagne 1989

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Pour George ORWELL, c’est un point fondamental. « Ce qu’il y a d’effrayant dans le totalitarisme, ce n’est pas qu’il commette des atrocités, mais qu’il s’attaque au concept de vérité objective : il prétend contrôler le passé aussi bien que l’avenir. »

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Avec le texte intégral de cette rencontre, nous vous proposons la vidéo réalisée par les Mutins de Pangée.

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