
(photo : Aurélie Martin/LÀ-BAS SI J’Y SUIS)
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(photo : Aurélie Martin/LÀ-BAS SI J’Y SUIS)
(photo : Aurélie Martin/LÀ-BAS SI J’Y SUIS)
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(photo : Aurélie Martin/LÀ-BAS SI J’Y SUIS)
(photo : Aurélie Martin/LÀ-BAS SI J’Y SUIS)
Le Français est égoïste. Le migrant est menaçant. Voilà deux gros clichés complètement faux ici, où, tous les jours, des bénévoles apprennent gratuitement le français à des migrants. Mais c’est pas seulement ici.
Un peu partout en France, il y a toute une solidarité ordinaire, discrète, sans tambour ni trompette. Treize millions de bénévoles donnent gratuitement de leur temps pour des causes diverses, plus d’un Français sur quatre. Leur motif ? « Épanouissement personnel ». Une énorme énergie humaine sans laquelle le château de cartes s’effondre dans l’instant, et qui pourrait préfigurer un système de revenu universel.
Ici, juste à côté du local de Là-bas, chaque jour à 18h30, place de la Bataille-de-Stalingrad, dehors, été comme hiver, loin des insanités calculées de Zemmour ou de Darmanin, des migrants du monde entier viennent tranquillement apprendre la langue de Molière et de Bashung.
Un reportage de Dillah Teibi pour se remonter les bretelles.
Programmation musicale :
– Arat Kilo : Wondemiye