Une nouvelle série de reportages en 18 épisodes

À qui voulez-vous casser la gueule ? [L’INTÉGRALE] Abonnés

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Bien sûr, on est contre la violence, bien sûr, la violence, c’est pas bien. Pourtant, les « gilets jaunes » ont montré qu’en politique, il ne restait guère que la violence pour se faire entendre et malgré ça, les Français continuent de les soutenir. Et vous, à qui voudriez-vous casser la gueule ? Macron, bien sûr ! Mais sinon ? Votre chef, votre mari, votre prof ou qui encore ?

Une nouvelle série de reportages de Sophie Simonot, à découvrir en dix-huit épisodes.

ÉPISODE 18/18 : l’antichambre de la colère

Pour se défouler, c’est par ici et ça fera 75 euros, merci ! Un après-midi à la « Fury Room » de Paris, près de la rue Saint-Denis.

ÉPISODE 17/18 : le préparateur de commandes

La vie moderne étant une source perpétuelle de petites et grandes colères, soufflez, et respirez…

ÉPISODE 16/18 : qui sème le vent récolte la tempête

Momo a 29 ans et pas beaucoup d’argent, c’est la raison pour laquelle il taxe souvent des cigarettes. C’est comme ça qu’il a rencontré Sophie. Il a pas mal de raisons de se mettre en colère, et pourtant, il n’a jamais la haine.

ÉPISODE 15/18 : l’imprimeur qui n’aimait pas la couleur

La Chartre-sur-le-Loir, petit village de 1 500 habitants, son clocher, son bar PMU, et ses immigrés fantômes.

ÉPISODE 14/18 : le plus beau métier du monde

La boss, elle est chiante. Les jeunes, ils sont chiants. La vie, c’est un peu chiant aussi. Une jeune femme attend son ami pour aller faire les magasins.

ÉPISODE 13/18 : le tête-tête

Devant le lycée technologique, après l’heure, c’est plus l’heure, ça leur apprendra ! En attendant l’heure suivante, on trouve la méthode de résolution des conflits : le « tête-tête ».

ÉPISODE 12/18 : un « gilet jaune », sur les Champs-Élysées

Sur les Champs-Élysées, Amara porte un gilet jaune. Mais…

ÉPISODE 11/18 : au village, sans prétention

Il n’y a pas d’heure pour boire l’apéro. Mais qu’en dira-t-on ?

ÉPISODE 10/18 : mieux vaut être seule que mal accompagnée

On peut se jurer fidélité et de s’aider même dans l’adversité, mais faut quand même pas pousser ! Une rencontre dans un parc parisien.

ÉPISODE 09/18 : le fils (presque) parfait

Parfois, pour trouver son chemin, il faut savoir s’imposer. Parfois, il faut savoir affronter son milieu familial. Et parfois, l’affrontement est violent.

ÉPISODE 08/18 : la rage du peuple

Avril 2019 : les « gilets jaunes » manifestent devant les sièges des grandes chaînes de télé. Injustices, inégalités, violences policières, manque de démocratie, peu à peu les braves gens se rebellent et crient « révolution ! »

ÉPISODE 07/18 : les diamants sont éternels

Sur le parvis de la Grande Arche de la Défense, à Puteaux, on rencontre beaucoup de gens en costard et on en a pour son argent !

ÉPISODE 06/18 : SOS dératisation

Petit, il voulait être policier. Aujourd’hui, il est dératiseur. Entre-temps, sa route a croisé celle de policiers, dans sa ville de banlieue.

ÉPISODE 05/18 : recherche maison désespérément

Un cadre dynamique de plus de 50 ans court pour attraper le métro. Parce que rester dans la course et prendre le train en marche, c’est pas de tout repos…

ÉPISODE 04/18 : les deux femmes de Jesus

À Paris, aller chercher du pain, c’est bien, ça permet de s’aérer la tête… et de tomber sur notre reporter !

ÉPISODE 03/18 : la prof et le principal

Dans la Sarthe, sortir le chien, c’est bien, ça permet de s’aérer la tête… et de rencontrer une reporter venue traîner son micro dans ce petit village.

ÉPISODE 02/18 : fâché mais pas facho

Paris, avril 2019, un samedi parmi tant d’autres, dans le cortège des « gilets jaunes » à Paris. Casser la gueule de Castaner ? Macron ? Pascal Praud ? Nos « gilets jaunes » hésitent…

ÉPISODE 01/18 : la liberté ou la mort

Paris, octobre 2018. Une manif de retraités entre Opéra et Madeleine, par une belle après-midi ensoleillée. Juste un mois avant le démarrage du mouvement des « gilets jaunes », chronique d’une révolte annoncée.

ÉPISODE 01/18 : la liberté ou la mort

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  • Chaque mardi, Olivier Besancenot raconte les chansons de notre histoire Quand le MIR voulait mettre les « trabajadores al poder » Abonnés

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    Si on vous demande une chanson chilienne, vous répondez sans hésitez, vous chantez tout de suite, vous scandez : « El pue-blo u-ni-do ja-más se-rá ven-cido ! ». Mais la chanson des Quilapayún, c’est un peu l’arbre qui cache la forêt de la « nueva canción ». La « nouvelle chanson », c’est la bande son de la contestation, c’est un mouvement musical et plus généralement culturel qui a accompagné les transformations politiques du Chili des années 1960 et 1970. Parmi les artistes de la « nueva canción », on trouve le groupe Karaxú, et parmi les chansons du groupe Karaxú, on trouve la chanson « Trabajadores al poder », les « travailleurs au pouvoir ». Olivier Besancenot vous raconte comment cette chanson est devenue l’hymne du Movimiento de Izquierda Revolucionaria, le MIR, mouvement de la gauche révolutionnaire dirigé par Miguel Enríquez.

  • Israël/Palestine Donner un sens à la douleur Accès libre

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    Ce que ces femmes ont un commun : l’une Palestinienne, l’autre Israélienne, chacune a perdu un enfant dans la guerre. Bushra Awad est palestinienne, Robi Damelin est israélienne. Leur amitié est née dans le sang de leurs enfants morts dans les affrontements armés. Elles font partie du « cercle des parents ». Un des plus importants mouvements pacifistes né en 1994 et qui compte environ 600 familles des deux communautés qui luttent ensemble. Des familles qui ont perdu des enfants au cours des affrontements continuels depuis des années et qui cherchent à donner un sens politique à leur douleur.

  • Le plastique, c’est toujours fantastique Abonnés

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    Cette semaine, la Corée du Sud accueille un sommet international sur le plastique. L’objectif est d’adopter un accord mondial visant à réduire la production de plastique. Il y a près de soixante ans, en plein cœur des Trente Glorieuses, la société française, comme beaucoup d’autres pays, se mettait à l’heure du tout jetable. Sans trop se poser de questions. Le temps des questions est venu, qui vont à l’encontre de la stratégie actuelle de l’industrie pétrolière et même de certains États qui voient dans le plastique une activité très lucrative ! Et ça, Dillah, ça l’étonne.

  • Chaque mardi, Olivier Besancenot raconte les chansons de notre histoire Jean Baptiste Clément : « La Semaine sanglante » Abonnés

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    Une chanson peut en cacher une autre. Olivier Besancenot l’a illustré à de nombreuses reprises dans sa série de « chants de bataille ». Le chant du jour ne fait pas exception puisqu’il a été écrit à chaud par Jean Baptiste Clément, alors élu au Conseil de la Commune, encore sous le choc de la violence qui vient de mettre un terme sanglant à la Commune de Paris. Dans l’urgence, c’est l’air d’une autre chanson, le Chant des paysans de Pierre Dupont, qui va servir à dénoncer les milliers de morts tués par les Versaillais. Olivier Besancenot revient aujourd’hui sur l’histoire de la Commune, sur sa répression sanglante et sur cette chanson devenue le mantra du mouvement ouvrier quand il va mal : « les mauvais jours finiront » !

  • Droit de la force et force du droit La guerre morale Accès libre

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    C’est la guerre que mène Israël. C’est ce qu’affirme le général Yoav Gallant, l’ex-ministre israélien de la défense qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité par la cour pénale internationale depuis le 21 novembre. Il n’est pas seul, le premier ministre Benyamin Nétanyahou et le leader du Hamas Mohammed Deif sont également poursuivis, tous les trois portant le même chapeau avec écrit en gros « criminel de guerre ».

  • Le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier. Et Dillah s’en étonne « Pogrom » à Amsterdam : retour sur un déchaînement médiatique et politique Abonnés

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    Dans la nuit du 7 au 8 novembre à Amsterdam, après un match de foot entre l’Ajax et le Maccabi Tel Aviv, des juifs ont été pris pour cibles en plein cœur de l’Europe. Indignation, émotion, condamnation. Mais que s’est-il vraiment passé ? Poser la question vous rend suspect.

    C’est évident, c’est un pogrom. Le mot va être repris partout. Récupération, instrumentalisation, surenchère délirante. Il faudra plusieurs jours pour qu’un peu d’information et qu’un peu de réflexion parviennent à montrer un peu de vérité. Trop tard bien sûr, on connaît : le mensonge monte par l’ascenseur, la vérité prend l’escalier.

    C’est le leader d’extrême droite Geert Wilders qui a dégainé le premier en lâchant à chaud le mot POGROM. C’est, huit jours plus tard, Femke Halsema, la maire d’Amsterdam, qui regrette publiquement d’avoir utilisé ce mot-là et qui dénonce l’opération de « propagande » de la part du gouvernement Nétanyahou.

    Et ça, Dillah, ça l’étonne.

  • Mandat d’arrêt contre Benyamin Nétanyahou, Yoav Gallant et le chef du Hamas pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité DREYFUS, C’EST MOI ! Nétanyahou encore victime d’antisémitisme… Accès libre

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    La Cour pénale internationale (CPI) a émis ce 21 novembre 2024 un mandat d’arrêt contre le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité ainsi que contre l’ex-ministre de la défense Yoav Gallant et le chef de la branche armée du Hamas, Mohammed Deïf.

  • On a trouvé le contraire exact de Donald Trump ! Lucie Castets, pas seulement le tube de l’été ? Accès libre

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    Comme par magie, elle est sortie du chapeau de la gauche le 23 juillet 2024. La voix des dieux de gauche est sortie des nuages : « petite Lucie, tu vas faire première ministre ! ». « Quoi ? Moi ? Qui n’ai aucun mandat, qui ne demande rien, qui ne connais guère la jungle politicienne ? »

    La voilà poussée en pleine lumière et, miracle incroyable, toutes les gauches sont d’accord pour l’installer à Matignon. Après Léon Blum et François Mitterrand, la gauche unie s’appelle Lucie Castets. On l’acclame, on lui joue Lucy in the Sky, oui mais c’est qui ? Énarque, économiste, militante des services publics, ouverte au compromis et toutes gauches compatible. Dans les rédactions, on est partagé, doit-on écrire haut fonctionnaire ou haute fonctionnaire ? Vite fait la voilà médiatisée, la voilà peopolisée, la voilà dézinguée : Lucie et son rouge à lèvres, ce sera juste le tube de l’été, et basta. Matignon, c’était pour de rire, pour le carrosse c’est retour citrouille. Oui mais dans Castets, il y a castagne, la gauche ne l’a pas lâchée et pour la suite elle est très décidée. Mais décidée à quoi ? Dialogue avec Laurence De Cock.

  • Chaque mardi, Olivier Besancenot raconte les chansons de notre histoire Mahmoud Darwich : « Sur cette terre » Accès libre

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    Il est bien sûr l’un des plus grands poètes palestiniens, mais aussi sans doute le poète de langue arabe le plus lu dans le monde, dont la renommée est toujours internationale, quinze ans après sa disparition.

    Riche de dizaines de publications en vers mais aussi en prose, son œuvre a été traduite dans le monde entier. C’est l’ancien ambassadeur de la Palestine auprès de l’UNESCO, Elias Sanbar, qui l’a traduit en français. Si on ne mesure pas forcément en France toute l’importance de Mahmoud Darwich, c’est que les Français n’accordent plus à la poésie la place qu’elle occupe toujours dans le monde arabe, et singulièrement Pour les Palestiniens. Comme l’explique Elias Sanbar, « dans la culture palestinienne, dans la mesure où c’est un peuple qui est privé de ses lieux, il peut habiter le poème. C’est pour cela que par exemple quand l’exil commence en 1948, les gens transportent avec eux des poèmes, et pas des romans ».

  • Mordre la main qui tient la laisse : la lettre hebdo de Daniel Mermet Dans le miroir que nous tend la folie Accès libre

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    Mets ton plus bel entonnoir, on va chez les dingues, les barjots, les cinglés, les déjantés, les détraqués, les siphonnés, les mabouls, les marteaux, les sinocs… On peut remplir un dictionnaire avec tous les noms de ces allumés qui travaillent du chapeau. Des noms d’oiseaux, bien sûr, ils étaient dans la lune bien avant toutes ces moches fusées.

  • Les salariés de Michelin ne sont pas toujours accueillants. Dillah s’en étonne… Vous êtes pour les gros ! Abonnés

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    Malmené il a été Monsieur Ferracci, notre ministre délégué chargé de l’industrie, lors de sa visite à l’usine Michelin de Cholet le vendredi huit novembre. « Vous êtes pour les gros ! » lui a même balancé un salarié.

    Les « gros » ? Un mot démodé qui renvoie à des luttes démodées. Luttes ouvrières, combats sociaux avec l’image de l’ouvrier maigre, le « salopard en casquette » et le patron gras du bide et chapeau claque. Démodé ? Quand une vague de fermetures et de licenciements est annoncée ? Quand Michelin annonce un montant record de 1,4 milliard d’euros pour ses bienheureux actionnaires ? Et que l’on répète la phrase historique du socialiste Jospin : « il ne faut pas attendre tout de l’État » ?

    En effet, c’est un peu gros.

    Et Dillah, ça l’étonne.

  • Le mieux est l’ennemi du bien Abonnés

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    À Amsterdam, le 7 novembre dernier, en marge d’un match de foot entre un club israélien et un club néerlandais, a eu lieu – comme le veut en général la tradition ordinaire de ce genre de fête populaire – une baston entre supporters. Bilan : cinq supporters israéliens « brièvement hospitalisés ». Les chiffres étant ce qu’ils sont, on parle évidemment de « pogrom » ou de « Shoah » un peu partout sur les ondes, relayant mot à mot le premier ministre Nétanyahou dont nos médias se font quotidiennement le porte-voix fidèle. Jusqu’ici, rien que de très banal.

    Cependant, une chronique parmi ce grand concert sans fausse note a retenu mon attention, celle de Dominique Reynié de la matinale de France Inter du 11 novembre. Le billet de l’illustre politologue abonde dans le sens du courant, à savoir que ce massacre de masse ne peut que rappeler l’Holocauste et que, par voie de conséquence, la France insoumise est un parti antisémite. Il n’y a toujours rien de très étonnant à ce stade. Mais ce qui différencie la chronique présente du reste du grand baroud médiatique, c’est que le très cavalier professeur à Sciences Po, loin de se tenir à simplement dérouler l’affirmation qu’on attendait de lui, a voulu en faire la démonstration. Et là, ça coince. Car pour peu qu’on la relise avec un tant soit peu d’attention, ladite démonstration tient à peu près la route comme une Twingo sur la neige. Ce qui est quand même ballot. Voici le courrier que j’ai donc adressé à notre très médiatique intellectuel de droite. Il ne m’a pas répondu.

  • Chaque mardi, Olivier Besancenot raconte les chansons de notre histoire Elvys Futur : « La vi chè » Abonnés

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    « La vi chè », c’est le mal qui pourrit la vie des Antillais depuis des années. « La vi chè », ça veut dire « la vie chère » en créole. « La vi chè », c’est le titre qu’a donné l’artiste Elvys Futur à sa chanson contre ceux qui les prennent « pour des vaches à lait », ceux qui les « oppressent ». La vi chè, c’est la chanson de la lutte contre la vie chère en Martinique, et c’est le chant de bataille que nous raconte Olivier Besancenot aujourd’hui.

  • 11 Novembre, à la mémoire des mutins de 1917 Le caporal Dauphin, fusillé pour l’exemple Accès libre

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    Je me souviens encore des petites patates de Mathilde et du gros rouge de Célestin. C’était le 11 novembre 1997 à Tauves, en Auvergne, après la cérémonie au monument aux morts où ils ne voyaient qu’un nom, celui de leur oncle, Joseph Dauphin, fusillé de la Grande Guerre et jamais réhabilité. C’était leur douleur et leur lutte éperdue, la réhabilitation du caporal Dauphin, fusillé pour l’exemple le 12 juin 1917, suite aux mutineries, 80 ans auparavant. C’était l’âge qu’ils avaient, Mathilde et Célestin. Ils ont quitté cette terre avec cette douleur mais en laissant l’exemple d’un combat pour la justice car Joseph Dauphin n’a jamais été réhabilité à ce jour.

Une sélection :

La lettre hebdo de Daniel Mermet La résistance d’un prof israélien accusé de trahison Accès libreLire

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On tue Nasrallah, on oublie Gaza, on danse à Tel Aviv, Nétanyahou exulte, BHL est de retour. Joe Biden pleure les enfants morts et fait l’indigné tout en livrant ses bombes à Bibi. Bonne nouvelle aussi pour le RN et Marine Le Pen, ses amis d’extrême droite remportent les législatives en Autriche. Le FPÖ (Parti de la liberté d’Autriche ) – qui soutient Israël – est un parti franchement nazi. Son leader Herbert Kickl veut devenir le VOLKSKANZLER, le « chancelier du peuple », titre emprunté à un autre autrichien, Adolf Hitler.

Hommage à Catherine Ribeiro (1941-2024) Catherine Ribeiro en concert aux Bouffes du Nord Accès libreVoir

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En 1995, la chanteuse Catherine Ribeiro créait au théâtre des Bouffes du Nord le spectacle « Vivre libre ». Elle y chantait ses propres chansons mais aussi celles d’Aragon, de Barbara, Brel, Ferrat, Ferré, Lluís Llach, Colette Magny, Gérard Manset, Danielle Messia, Anne Sylvestre et même, si vous allez jusqu’à la fin, une surprise à réécouter alors que nous célébrons le 80e anniversaire de la libération de Paris. En hommage, nous vous proposons de découvrir ce concert :

L’historien Gérard Noiriel publie PRÉFÉRENCE NATIONALE (Gallimard,3.90Euros) (Vidéo et podcast | durée : 51’23) Préférence nationale : cette vieille recette facho, un sujet urgent AbonnésVoir

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« Il y a toujours un groupe qui symbolise le rejet en fonction de la conjoncture du moment », dit l’historien Gérard Noiriel. Il est urgent de démonter le système de cet apartheid dont les électeurs du RN sont souvent eux-mêmes les premières victimes.