Désobéissance musicale

Le , par L’équipe de Là-bas

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(photo : Jason deCaires Taylor)
Être un art mineur pour les mineurs, c’est la chance à la chanson. Comme ça les élites l’ignorent et la méprisent. Mais c’est aussi son malheur à la chanson. C’est un produit de consommation de masse. Ça peut faire des sous. Tantôt pute, tantôt pure, la chanson, donc. Elle tapine gros comme ça et soudain vous chope le cœur comme à quinze ans. Elle vous allume, elle vous saoule, elle vous plaque et revient un soir sous la pluie. Et vous lui ouvrez.
Nous, on a un faible pour la forte, celle qui conteste et qui proteste, de Ferrat à Béranger, de Ferré à Renaud. Et aujourd’hui, c’est fini ? Non, pas du tout, ça proteste et ça dénonce et ça grince et ça décoiffe, mais autrement. La preuve aujourd’hui, une heure (ou presque) de chansons qui ne passent pas trop sur nos ondes, on se demande pourquoi.
Préparation : Franck Haderer.
Programmation musicale :
 Désobéissance civile, par Keny Arkana
 Merci France Inter, par Pascal Coulan
 On lâche rien, par HK & les Saltimbanks
 Je lutte, par Casey
 Y’en a des biens, par Didier Super
 Marine est là, par Tryo
 17 octobre, par Médine
 Mes potes du crédit foncier, par Guillaume Haubois
 Relançons la consommation, par Thomas Dutronc
 Fiche de recrutement, par Arnaud Catherine et Florent Marchet
 Funambule, par Loïc Lantoine
 Choisis le nucléaire, par les Artistes Chanteurs de la Droite Conservatrice
 C’est normal, par Brigitte Fontaine et Areski Belkacem
 Gentiment je t’immole, par Mai Lan
 Des bisous, par Philippe Katerine

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