— Le , par Jef1.
Lubat si j’y suis, 36e festival d’uzeste
Le
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Lubat si j’y suis, amusicien, visage musical. Uzeste, agitée et résistante.
Cela fait 36 ans que Bernard et sa compagnie percussionnent, accordéonnent, pianotent musique et mots. Contre la barbarie affairée à triompher, sans chercher à croquer leur part du gâteau. Parce que Bernard Lubat ne voulait pas « finir subliminable, comme un couillon du jazz ». Mixture de gascon, de Coluche et de Lacan, cette phrase est si compréhensible qu’elle désarme. Plein d’espoir, on l’ânonne, en cadence.
Reportage Antoine Chao et Daniel Mermet.
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