Bien sûr, le Conseil constitutionnel va dire le droit et rien que le droit, on peut compter sur le président du Conseil, Laurent Fabius. Mais tout de même, pour ceux qui n’ont pas la mémoire trop courte, on se souvient de celui qui, en 2010, dénonçait la réforme des retraites « injuste et inefficace », qui militait pour que l’âge de départ reste à 60 ans et non pas 62, qui militait aussi pour taxer les banques pour financer les retraites, et qui voulait enfin un référendum. Celui qui voulait tout ça, c’était un certain Laurent Fabius. Mais bon, là, cette fois, vendredi ce sera le droit, rien que le droit, pas le gauche…
Le Conseil constitutionnel se prononce sur la réforme des retraites
Quand Fabius s’opposait farouchement à la réforme des retraites
Le
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