« Il y a eu plus de participation aux élections professionnelles qu’au second tour de la présidentielle. Et pourtant, c’est la légitimité des syndicats qu’on remet en cause. » Philippe Martinez, secrétaire général de la Confédération Générale du Travail (CGT), croit autant à la mobilisation dans la rue que dans les entreprises. « Notre objectif, c’est un autre Code du travail, pas le retour à la première loi Travail. »