« LA SÉCURITÉ, PREMIÈRE DES LIBERTÉS », proclame le Front National en 1992.
« LA SÉCURITÉ, C’EST LA PREMIÈRE DES LIBERTÉS », affirme Manuel Valls en novembre 2015. Marine peut aller à la plage, c’est Manuel qui garde la boutique. Dérive sécuritaire ? Déroute politique ? Les deux ?
Inefficace et dangereux. Deux mois après, le bilan de l’état d’urgence est à peu près nul. Non seulement les libertés sont menacées mais la sécurité n’est pas mieux assurée. Pourtant le gouvernement s’apprête à prolonger « le temps qu’il faudra ». Vers un état d’urgence permanent ? Des voix s’élèvent et s’organisent, un Conseil d’urgence citoyenne se constitue, des associations dénoncent l’islamophobie.
Avec, autour de Daniel MERMET :
– Sophie WAHNICH, historienne, directrice de recherche au CNRS, initiatrice du Conseil d’urgence citoyenne
– Laurence BLISSON, juge d’application des peines, secrétaire générale du Syndicat de la Magistrature
– Anthony CAILLÉ, secrétaire général de la CGT-Police Paris
– Sihem ZINE, membre de la Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie (CRI)
– Gérard TCHOLAKIAN, avocat, membre du Syndicat des Avocats de France
C’était dans notre émission LÀ-BAS Hebdo n°32 : « LA SÉCURITÉ, C’EST LA PREMIÈRE DES LIBERTÉS », à (ré)écouter en cliquant ici.
préparés par : Anaëlle VERZAUX
réalisation : Jeanne LORRAIN & Jonathan DUONG
son : Jérôme CHELIUS
préparation : Grégory SALOMONOVITCH