Du bois, de la pierre, du métal détruits, et trois blessés légers. C’est finalement le bilan – heureusement faible – de l’incendie qui a détruit Notre-Dame de Paris. Pourtant, l’événement a suscité une émotion considérable, mondiale, de Donald J. Trump au pape, en passant par Arielle Dombasle et l’inévitable Stéphane Bern. « C’est un peu notre 11 septembre d’une certaine manière. On se souviendra tous où on était quand on a vu les premières images de Notre-Dame », s’est même émue Nathalie Loiseau, candidate aux élections européennes pour La République en marche [1]. Gérard Mordillat revient sur cet emballement médiatique et émotionnel.
Pour en finir avec Notre-Dame ! Abonnés
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