Didier Porte Hebdo : chaque vendredi, la revue de presse indispensable !

Didier Porte se demande si Finkielkraut mérite autant qu’on s’intéresse à lui Abonnés

1

Le

De retour de mon stage d’acclimatation à la maison de retraite le « Chrysanthème jovial », réservé aux artistes de gauche dans la débine, je m’imaginais que, pendant mon absence, le niveau du grand débat général sur le thème « doit-on débattre de tous les sujets de débat qui nous tombent sur le micro ? » avait baissé d’un cran.

Que non pas, malheureux ! En entendant l’académicien proférer des insanités sur le viol d’un adolescent par son beau-père qui aurait pu le devenir (académicien), j’ai compris que rien ne changerait, non, jamais. Pour en débattre, c’est ici. Si vous avez déjà donné, je vous recommande plutôt le sujet de Dillah Teibi consacré à la ville du futur. Qui se trouvera où ? Je vous le demande… En Arabie saoudite ! J’ai perçu dans le sujet une certaine ironie qui pourrait valoir à Dillah, s’il était Saoudien, de se voir découper en tranches fines… Enfin, notre employé de la semaine, Jonathan Duong, profite de la diffusion sur France 5 d’un excellent docu consacré à Charlie Chaplin pour déclarer sa flamme pour le célèbre génie britannique.

Bon visionnage.

Didier Porte

Abonnez-vous pour accéder à tous nos contenus, c’est très simple !

Depuis 1989 à la radio, Là-bas si j’y suis se développe avec succès aujourd’hui sur le net. En vous abonnant vous soutenez une manière de voir, critique et indépendante. L’information a un prix, celui de se donner les moyens de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre travail. C’est aussi le prix de notre indépendance, pour ne pas être soumis financièrement aux annonceurs, aux subventions publiques ou aux pouvoirs financiers.

Je m'abonne J'offre un abonnement

Déjà abonné.e ?
Identifiez-vous

revue de presse : Didier Porte
journalistes : Jonathan Duong et Dillah Teibi
montage : Amélie Brunet
son : Jules Krot

Voir aussi

 Yves Jeuland, Charlie Chaplin, le génie de la liberté, 2h26, 2020

 BONUS de « l’employé de la semaine » : vous pouvez revoir en entier le premier long-métrage de Charlie Chaplin, The Kid, 1921, 53 min :

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)