Pour toi (je n’en doute pas) ami abonné, comme pour ton serviteur, cette rentrée s’annonçait sous les meilleurs hospices (de Beaune).
L’annonce de la sortie imminente d’un nouvel album d’Alain Souchon suffisait à notre bonne humeur, en tout cas à la mienne, car j’ai beaucoup d’admiration pour le grand parolier qu’il est. La simplicité et la précision de son écriture en font l’un des derniers grands stylistes de la chanson française depuis Georges Moustaki (dont l’absence n’est jamais devenue une douce habitude).
Bref, je me faisais toute une joie d’écouter le dernier Souchon, et c’est alors que j’ai commis l’imprudence fatale : je l’ai écouté répondre à une interview sur RTL et j’ai découvert avec horreur que l’auteur tant inspiré de Foule sentimentale était devenu… non ! je ne peux pas le dire, c’est trop monstrueux !
Si tu veux savoir, même si je te le déconseille, ami abonné, tu vas être obligé de visionner cette revue de presse. Allez, courage !