Balade(s) musicale(s)

Et plein de musiques de là-bas pour les fêtes !

Le

Des chansons et des musiques, cueillies au fil des kilomètres, au cours du long voyage de Là-bas du bout du monde au coin de la rue. Aucun studio, aucun disque, juste un nagra pour garder quelques grâces, quelques rires, quelques mots d’amour ou de luttes, dans la voix d’une femme Tchétchène, dans un fado à Lisbonne, dans une cave d’Irancy dans l’Yonne, dans une berceuse chantée dans une barque sur le Fleuve Jaune ou encore ce gamin de São Paulo qui fait la manche en chantant sous le nez des touristes qui ne comprennent pas sa langue « ta charité tu peux te la foutre dans le cul ». Voilà de quoi retrouver la pêche pour démarrer une belle année, avec Là-bas, bien sûr !

Balade musicale

Première diffusion le 21 mai 2010.

[RADIO] Ballade musicale

Amérique latine, la musique c’est pas du folklore

Corrido, cumbia, salsa, boléro... On pense rythmes colorés et exotiques, mais si on écoute les paroles, ce n’est pas du tout du folklore ! Actualité, faits divers, légendes, contes souvent très violents, et luttes sociales. Au Honduras, en Colombie, au Mexique, en Bolivie, les chansons populaires sont très présentes et parfois interdites, mais beaucoup plus écoutées que les musiques yankee. Une résistance à la culture dominante nord-américaine, une résistance musicale qui accompagne les mouvements sociaux en Amérique du Sud, avec une excellente traduction d’Antoine Chao en personne !

(Reportages sur la frontière États-Unis / Mexique : Antoine Chao, Giv Anquetil et Daniel Mermet. Première diffusion le 05 juin 2013.)

[RADIO] Amérique latine, la musique c’est pas du folklore

images :
 José Malhoa, « O Fado », 1910, Museu da Cidade, Lisboa
 photomontage : Représentation des « Adelitas » de la Révolution Mexicaine / Ilustración de Matt Taylor

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Vive la paresse ! Accès libreÉcouter

Le , par L’équipe de Là-bas

Décrétons le premier Mai fête de la paresse, fête de la longue lutte des travailleurs pour la réduction du temps de travail et pour le temps de vivre, de rêver et d’aimer...
Et tout ça à travers un tas de chansons sur le travail.
Quel boulot !
Programmation musicale : Franck Haderer

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

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Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)