Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite

Les joyeux fantômes de Tchernobyl

Le

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(photo : RENA EFFENDI / Institute)

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans.

Un reportage de Daniel MERMET et Zoé VARIER du 1er décembre 1993.

Les joyeux fantômes de Tchernobyl
Là-bas si j’y suis

Programmation musicale :
 Center : Radioactivity
 Kraftwerk : Radioactivity

Merci à Fiodor et sa femme Tamara, à Vladimir, et aux babouchki de la zone interdite.

Marie GALL attend vos messages sur le répondeur de Là-bas si j’y suis au 01 85 08 37 37.

reportage : Daniel MERMET et Zoé VARIER
réalisation : Christian ROSE et Khoï N’GUYEN

(Vous pouvez podcaster ces reportages en vous rendant dans la rubrique « Mon compte », en haut à droite de cette page.)

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Programmation musicale : Franck Haderer

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

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Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.