Six ans après la catastrophe de Fukushima, la France n’a toujours pas su fermer l’un de ses 58 réacteurs en service.
Alors que l’évidence d’une transition énergétique gagne l’opinion publique, les lobbys de l’atome et les persistances d’idéologie productiviste freinent ce qu’il est urgent de réaliser : l’arrêt le plus rapide de toute production nucléaire, civile ou militaire. Car si l’on devait hiérarchiser les drames écologiques en devenir, la catastrophe nucléaire et d’une radicalité sans équivalent.
Pour en parler nous recevrons Patrick Maupin, représentant de Greenpeace en Gironde.