SHLOMO SAND. La fin de l’intellectuel français

Shlomo et ses trois intellos

Le

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement
Shlomo et ses trois intellos
par Là-bas si j'y suis

Ici on adule LORDON, à trois pas on crache sur FINKIE. Mais qu’ont-ils en commun ? Ce sont des intellos. Du sarcasme au pinacle, les intellos sont toujours là. Mais dans quel état ? Dans son dernier livre, SHLOMO SAND s’interroge sur LA FIN DE L’INTELLECTUEL FRANÇAIS. De Zola à Houellebecq, c’est une longue débandade.

De tout ce long travail érudit et stimulant, SHLOMO SAND retient trois figures remarquables à ses yeux, la philosophe SIMONE WEIL, le poète ANDRÉ BRETON et l’historien DANIEL GUÉRIN.

Extrait d’un entretien avec Shlomo Sand, à écouter prochainement en intégralité sur la-bas.org

Merci à Shlomo SAND.

Marie GALL attend vos messages sur le répondeur de Là-bas si j’y suis au 01 85 08 37 37.

entretien : Daniel MERMET
réalisation : Jeanne LORRAIN et Jonathan DUONG
son : Jérôme CHELIUS

Télécharger la vidéo au format .mp3 :

Shlomo et ses trois intellos

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Le 13 mars 2010 Jean Ferrat prenait le dernier train. On n’oublie pas... FERRAT, C’EST NOUS TOUS ! Des chansons, des archives, des inédits… Accès libreVoir

Le

Il y a 13 ans, le 13 mars, Jean Ferrat prenait le dernier train. On n’oublie pas, car Ferrat, c’est nous tous. La montagne, c’est chez nous, les marins de Potemkine, c’est nos frères, ma môme, c’est la mienne, la nuit et le brouillard, c’est en nous, c’est nous qui ne guérissons pas de notre enfance, c’est nous qui aimons à perdre la raison.

Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot Qui a inventé le 8 mars ? AbonnésVoir

Le

C’est maintenant à peu près acquis pour tout le monde, le 8 mars n’est pas la journée « de la femme », mais la « journée internationale des droits des femmes ». Un jour de manifestations et de grèves qui semble connaître un nouveau souffle avec le mouvement féministe récent, qui lutte autant contre les violences sexistes et sexuelles que pour réduire les inégalités salariales et améliorer les conditions de travail des métiers majoritairement exercés par des femmes. Mais saviez-vous qu’aux origines de cette journée du 8 mars se trouvait l’Internationale socialiste des femmes ?