Ambroise Croizat, 60 ans après sa mort

Le , par L’équipe de Là-bas

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement

Militant syndical, membre du Parti communiste, ministre de 1945 à 47, il fut le principal instigateur de la Sécurité Sociale en France, l’un de ceux qui ont institué les conventions collectives, le système des retraites, les comités d’entreprise, la médecine du travail tout ces "conquis sociaux" que les néo-libéraux au pouvoir s’emploient à détruire par tous les moyens depuis des années.
Si Croizat est méconnu en France, si nous ignorons tout de notre propre histoire sociale, ce n’est pas un hasard. C’est le résultat d’un combat idéologique et politique dans lequel chacun doit choisir son camp mais où la neutralité est impossible.
Minuscule victoire, lors de la première diffusion de cette émission, nous disions que le nom d’Ambroise Croizat ne figurait pas dans le Larousse ni dans le Robert. Mais, victoire, au terme d’une longue lutte menée par la CGT, ce nom figurera désormais dans les dictionnaires...
Un reportage de François Ruffin, avec l’historien Michel Etiévent.

Programmation musicale


 Jean Ferrat : "Camarade"
 Jean Nocher : "Nous allons au devant de la vie"
 Marty : "Révolution"
 "Ambroise Croizat, l’invention sociale" de Michel Etiévent, à retrouver sur le site de l’historien : www.micheletievent.lautre.net

Écouter l'émission

  • 15:04:41 - 1/12

    - MP3 -

  • 15:09:41 - 2/12

    - MP3 -

  • 15:14:41 - 3/12

    - MP3 -

  • 15:19:41 - 4/12

    - MP3 -

  • 15:24:42 - 5/12

    - MP3 -

  • 15:29:42 - 6/12

    - MP3 -

  • 15:34:42 - 7/12

    - MP3 -

  • 15:39:42 - 8/12

    - MP3 -

  • 15:44:42 - 9/12

    - MP3 -

  • 15:49:42 - 10/12

    - MP3 -

  • 15:54:42 - 11/12

    - MP3 -

  • 15:59:42 - 12/12

    - MP3 -

  • 16:04:42 - 13/12

    - MP3 -

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)