Leopold II, roi colonial

Le , par L’équipe de Là-bas

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement

Congo, un magnifique gâteau africain


Bruxelles coloniale. Bruxelles ville d’Afrique. Bruxelles qui doit tout au roi "bâtisseur", le roi Leopold II. Promenade coloniale à Bruxelles, avec Lucas Catherine, et au Cercle royal namurois des anciens d’Afrique, avec Jean Paul Rousseau et Paul Vannesse.
Un reportage avec Giv Anquetil
Lecture du "Recueil à l’usage des fonctionnaires et des agents du service territorial au Congo belge", (Ministère des colonies, 1925) par Charlotte Perry

Programmation musicale


 Tramel : Qu’est-ce que t’attends pour aller aux colonies ?

A lire


 "Promenade au Congo  : petit guide anticolonial de Belgique", de Lucas Catherine (Aden / CADTM - juin 2010)
 "Au coeur des ténèbres", de Joseph Conrad ( Gallimard - juin 2009)
 "Du sang sur les lianes. Léopold II et son Congo", de Daniel Vangroenweghe ( Aden - mai 2010)
 "Les fantômes du roi Léopold. La terreur coloniale dans l’Etat du Congo, 1884-1908", d’Adam Hochschild ( Tallandier - 5 avril 2007)
 "Une histoire populaire du Congo", de Tony Busselen ( Aden - juin 2010)
 "L’assassinat de Lumumba", de Ludo de Witte ( Karthala - janvier 2000)
 "Lumumba, un crime d’Etat. Une lecture critique de la Commission parlementaire belge", de Colette Braeckman ( Aden - avril 2009)

Écouter l'émission

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 01/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 02/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 03/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 04/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 05/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 06/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 07/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 08/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 09/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 10/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 11/12

    - MP3 -

  • Emission du lundi 24 janvier 2011 - 12/12

    - MP3 -

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)