Didier Porte Hebdo : chaque vendredi, la revue de presse indispensable !

Notre-Dame de Paris : Didier Porte est en berne Abonnés

1

Le

Ami abonné,

Devinette : Il est un des plus grands acteurs de sa génération, mais il a préféré entrer dans l’Histoire qu’à la Comédie Française où il aurait surement fait une immense carrière de tragi-comédien dell’arte flamboyant et baroque ; il est l’ami des vieilles pierres et de Line Renaud, mais aussi d’Emmanuel Macron, ce qui lui a valu d’être nommé quasi-ministre (et pas quasi-modo…ah ah, elle est bonne !) du patrimoine, mais bénévole, comme Brigitte Macron, qui est aussi son amie ; le 15 avril dernier, il a mis le feu à tous les plateaux de télé qui l’avaient convié à venir pleurer sur le sort tragique de son amie Notre-Dame de Paris, ce qu’il arrive à faire en moins de trente secondes, pour peu qu’on ne l’interrompe pas pendant sa tirade de préparation ; et ce, alors que Notre-Dame, il s’en tamponne comme de l’an 40, faut-il le préciser ; au passage, il s’est offert quelques comparaisons incongrues qui ont du faire la joie de la complosphère ; tu l’as reconnu, ami abonné, c’est bien sûr de Stéphane Bern qu’il va être question dans ce 71e épisode de Vive les médias, un Bern au sommet de son art, celui d’en faire des tonnes, sans jamais y perdre une plume. Ah, il est fort, le lascar !

En complément, notre journaliste employé de la semaine Jérémie Younes vous parle de la collection de « mocassins philosophiques inspirés de grands penseurs » lancée par Louis Sarkozy cette semaine ! Ah, il en a sous la semelle, Sarko junior !

Bon visionnage,

Didier Porte

Abonnez-vous pour accéder à tous nos contenus, c’est très simple !

Depuis 1989 à la radio, Là-bas si j’y suis se développe avec succès aujourd’hui sur le net. En vous abonnant vous soutenez une manière de voir, critique et indépendante. L’information a un prix, celui de se donner les moyens de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre travail. C’est aussi le prix de notre indépendance, pour ne pas être soumis financièrement aux annonceurs, aux subventions publiques ou aux pouvoirs financiers.

Je m'abonne J'offre un abonnement

Déjà abonné.e ?
Identifiez-vous

revue de presse : Didier Porte
employé de la semaine : Jérémie Younes
réalisation : Léa Bardiau

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Vive la paresse ! Accès libreÉcouter

Le , par L’équipe de Là-bas

Décrétons le premier Mai fête de la paresse, fête de la longue lutte des travailleurs pour la réduction du temps de travail et pour le temps de vivre, de rêver et d’aimer...
Et tout ça à travers un tas de chansons sur le travail.
Quel boulot !
Programmation musicale : Franck Haderer

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)