Autour du Monde diplomatique de janvier PARTIE 3

Au nom de la loi… américaine

Le

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Dernière partie de notre rencontre avec l’équipe du Monde diplomatique du mois de janvier, avec Jean-Michel QUATREPOINT : au nom de la loi… américaine.
Un entretien de Daniel MERMET et Jonathan DUONG.

Les entreprises européennes ont dû payer aux États-Unis un pactole de plus de 40 milliards de dollars (38,5 milliards d’euros) ces dernières années. La justice américaine les accuse de ne pas respecter les sanctions décidées par Washington (et non par les Nations unies) contre certains États. Le droit devient alors une arme pour absorber ou éliminer des concurrents.

03. Jean-Michel QUATREPOINT : Au nom de la loi… américaine
Là-bas si j’y suis
pages 01, 22 et 23 du Monde Diplo : Au nom de la loi… américaine, un article de Jean-Michel QUATREPOINT

Merci à Jean-Michel QUATREPOINT.
Merci aussi à Sophie DURAND-NGÔ et Anne CALLAIT-CHAVANEL du Monde Diplomatique.

Programmation musicale :
 Rammstein : Amerika

Pauline BOULET attend vos messages sur le répondeur de Là-bas si j’y suis au 01 85 08 37 37.

journalistes : Daniel MERMET et Jonathan DUONG
réalisation : Sylvain RICHARD

(Vous pouvez podcaster cette émission en vous rendant dans la rubrique « Mon compte », en haut à droite de cette page.)

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Vive la paresse ! Accès libreÉcouter

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Décrétons le premier Mai fête de la paresse, fête de la longue lutte des travailleurs pour la réduction du temps de travail et pour le temps de vivre, de rêver et d’aimer...
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Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)