Société

Que les gros salaires baissent la tête

Le

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement

Nouvelle diffusion du reportage du 14 Novembre 2005 de François Ruffin au coeur des salaires des PDG.
Combien de vie nous faudrait-il pour gagner le salaire d’un PDG ? ?
Il s’agit de millions d’euros, souvent de quelques 350 000 francs par jour pour retourner à d’anciens repères ...
Stock-options, golden parachutes, primes, l’indécence capitaliste est multiforme, toujours critiquée mais finalement peu condamnée et rarement contrôlée.
Jean-Louis Porquet, journaliste au Canard enchaîné, a mené une enquête documentée sur ce sujet.

Livres :


 Jean-Luc Porquet : Que les gros salaires baissent la tête
éditeur : Michalon
 Jean-Pierre Levaray : Putain d’Usine
éditeur : Agone

Écouter l'émission

  • Politique fiction - répondeur

    - MP3 -

  • Fragilité psychologique de Nicolas Sarkozy - répondeur

    - MP3 -

  • Les excés de Là-bas avec Nicolas Sarkosy - repondeur

    - MP3 -

  • Pédophilie et génétique - répondeur

    - MP3 -

  • Nicolas Sarkozy et la génétique - répondeur

    - MP3 -

  • François Bayrou est de droite - répondeur

    - MP3 -

  • Livre d’Eric Besson sur Ségolène Royal - répondeur

    - MP3 -

  • Que les gros salaires baissent la tête - Daniel Mermet

    - MP3 -

  • We feed the world - répondeur

    - MP3 -

  • We feed the world - répondeur

    - MP3 -

  • Votons Jean Ziegler - répondeur

    - MP3 -

  • Citation pré-électorale - répondeur

    - MP3 -

  • Débat sur la privatisation d’EDF - répondeur

    - MP3 -

  • Repaires de Là-bas - répondeur

    - MP3 -

  • Générique

    - MP3 -

  • Que les gros salaires baissent la tête

    - MP3 -

Sur notre site

Dans les livres

  • Que les gros salaires baissent la tête !

    Les actionnaires veulent 15% de profit par an... c’est comme ça. Le problème, c’est que « c’est impossible à tenir à long terme, dans une société dont le taux de croissance est de 2% à 3% ». La solution, pour les « pédégés » ? « Licencier, pressurer, délocaliser. » Pour eux, par contre, les recettes sont différentes...

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)