Bolivie, une révolution en dents de scie - La guerre du gaz

Le

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement

Après la large réélection d’Evo Morales dimanche 6 décembre - avec plus de 60% des voix, retour sur la guerre du gaz en Bolivie.
Octobre 2003. C’est dans le quartier populaire d’El Alto - 1 million d’habitants-, au dessus de La Paz, qu’éclate l’insurrection contre la politique néo-libérale du gouvernement. Malgré la violente répression (70 morts, 400 blessés), le pouvoir tombe et le président "Goni" s’enfuie sans gloire vers Miami.
Un reportage avec Antoine Chao
Première diffusion en juin 2009

Programmation musicale


 Primas de achacachi : Hazte gas
 Atahualpa Yupanqui : Ya basta
 Ukamau y ke : America latina
 Musica mojocoya : Soy boliviano

A lire


 "Pour en finir avec l’Etat colonial - Discours d’investiture présidentielle", d’Evo Morales Aima
Editeur : Le Jouet enragé (2009)
 "Pour une politique de l’égalité : communauté et autonomie dans la Bolivie contemporaine", d’Alvaro Garcia Linera
Editeur : Les Prairies ordinaires (18 avril 2008)
 "Nous serons des millions : la gauche bolivienne à l’assaut du pouvoir", d’Hervé Do Alto & Pablo Stefanoni
Editeur : Raisons d’agir (20 mars 2008)
 "Disperser le pouvoir : les mouvements comme pouvoirs anti-étatiques : soulèvements et organisation à El Alto (Bolivie, 2003)", de Raul Zibechi
Editeur : Le Jouet enragé (17 avril 2009)
 "La grande révolte indienne", d’Yvon Le Bot
Editeur : Robert Laffont (9 avril 2009)

Écouter l'émission

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 01/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 02/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 03/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 04/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 05/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 06/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 07/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 08/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 09/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 10/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 11/12

    - MP3 -

  • Emission du mercredi 09 décembre 2009 - 12/12

    - MP3 -

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)