Julian Assange, cyberterroriste ? (2)

Le , par L’équipe de Là-bas

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement

Nous sommes devenus nos propres espions.
Internet devient une dystopie, c’est à dire le contraire d’une utopie. Voila la conviction de Julian Assange que nous rencontrons dans l’ambassade d’Equateur à Londres où il a trouvé refuge. Traqué et poursuivi par la toute puissance américaine, le fondateur de Wikileaks, avec trois autres "cyber-dissidents" publie un livre panique "Menaces sur nos libertés".
Chaque jour Internet développe un contrôle plus étroit jusqu’au plus intime de nos vies, Twitter et Facebook, sont contrôlés par Washington, ce dont rêvait la STASI, internet le fait, en mieux, en moins cher et avec notre plein consentement. Paranoïa ? Les auteurs nous incitent à l’insurrection contre ce nouveau totalitarisme.
Entretien Daniel Mermet, Giv Anquetil.

Programmation musicale :


 Sole : "Bradley Manning Swag"
 Cause : "Interference"
 Rap News : "The WWWar on Internet"

A lire :


 "Menaces sur nos libertés : comment internet nous surveille", de Julian Assange avec Jacob Appelbaum, Andy Müller-Maguhn et Jérémie Zimmermann (Robert Laffont, 2013)
 "Hackers : au coeur de la résistance numérique", de Amaelle Guiton (Au Diable Vauvert, 2013)

Écouter l'émission

  • 15:04:41 - 1/12

    - MP3 -

  • 15:09:41 - 2/12

    - MP3 -

  • 15:14:41 - 3/12

    - MP3 -

  • 15:19:41 - 4/12

    - MP3 -

  • 15:24:41 - 5/12

    - MP3 -

  • 15:29:41 - 6/12

    - MP3 -

  • 15:34:41 - 7/12

    - MP3 -

  • 15:39:41 - 8/12

    - MP3 -

  • 15:44:41 - 9/12

    - MP3 -

  • 15:49:41 - 10/12

    - MP3 -

  • 15:54:41 - 11/12

    - MP3 -

  • 15:59:41 - 12/12

    - MP3 -

  • 16:04:41 - 13/12

    - MP3 -

Sur notre site

À voir

  • Numéro spécial pour l’AN 04 de LÀ-BAS, en public au LIEU-DIT le 21 janvier. « Ah, pour une belle fête, c’était une belle fête… »

    Émission spéciale : ceux qui arment les esprits ! Abonnés

    Voir
    « CEUX QUI ARMENT LES ESPRITS » : voilà le danger, voilà ceux qu’il faut condamner, selon AURORE BERGÉ, porte-parole de La République en Marche, qui vient de dénoncer JUAN BRANCO auprès du procureur de la République, suite à notre (…)

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)