Ah oui je l’ai relu le 84 d’Orwell avec la postface de Thierry Discepelo et Célia Izoard. J’ai même commencé par ça tellement ça me semblait important. Après c’est vrai on peut dire que c’est un roman glauque sans aucune échappatoire, mais TOUT le roman est un immense avertissement. "Ne permettez pas qu’il (...)
(RE) LIRE ORWELL