alors tout de suite, d’abord, le petit jeune en début de reportage refait la tradition à sa sauce, le vieux charpentier que je suis est obligé de rectifier : quand il plante le bouquet sur la faitière, le charpentier ne s’excuse pas de ses erreurs, le couvreur n’a qu’à se contenter de la chance que (...)
Trois ans après, que devient la ZAD de Notre-Dame-des-Landes ?