A l’instar du triste Benalla et du lugubre Castaner ce funeste Darmanin sent le cadavre et ne peut qu’empuantir encore l’atmosphère de ce gouvernement. Pestilentiel, le gars. N’a rien à envier au non regretté Pen, ce coquelet joli, chef des poulets par la grâce du Gamin. Mais, fait surprenant (…)
Appeler un chat un chat, et Gérald Darmanin un apprenti fasciste