2/2 C’est peut-être comme ça que le virus va changer les choses, comme un reboot après le crash. C’est alors sous l’emprise de nos besoins vitaux que peut-être nous nous débarrasserons de ce qui nous nuit. Éjecter le capitalisme identifié comme toxique, dans un acte de survie. Bien d’accord (…)
François Bégaudeau : « Tu te fais des drôles d’amis quand tu t’attaques à la bourgeoisie »