Je partage l’avis de Monique Pinçon-Charlot : une grosse partie du problème vient de nous , la classe des travailleurs. Avec la complicité des médias (chanson, cinéma, littérature, arts plastiques, théâtre...) la classe bourgeoise a rendu désirable son statut de parasite (s’enrichir sur le (…)
Monique Pinçon-Charlot : « Ce n’est pas une crise sanitaire, c’est une crise du capitalisme »