Merci monsieur Mordillat avec vous on apprend toujours quelque chose. Même avec finalement, ce qu’on peut appeler un coup de gueule que vous poussez ici sur les critiques désincarnées de la presse écrite. Mais ce n’est pas ce dont j’ai envie de parler aujourd’hui même si j’ai bien aimé le film. (…)