J’ avoue : avant de lire ces textes j’ai mis en fond sonore l’ adagio du trio in B-Flat Major op.11 de Beethoven. Peut-être est-ce une manière artificielle d’additionner des émotions, les mots et la musique, mais il n’en est rien ? Simplement le désir de suspendre le temps non par nostalgie (…)
Il y a quarante ans, Sartre.