J’ecoute les infos sur France Inter le matin à 7 heures. Et je suis effarée par la macronite aiguë des journalistes. Quand il y a une grève, ils n’en donnent jamais les raisons. Une des émissions maintenues ces temps-ci a été « le téléphone sonne « mais, lorsqu’il s’agissait d’un sujet un peu (…)
Radio France, une grève sous silence : histoire d’une confiscation